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Invité

Quand ? Début du 19ème siècle
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Où? New York City
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Michael Williams est un très riche héritier. Son but dans la vie est de mettre son argent au profit des autres. Seulement un évènement vint bouleverser sa vie. Une rencontre.
Elle s'appelait Sonia Saunders et était professeur dans un lycée du nord des États Unis.
C'est une idylle qui dura pendant 7 ans, mais comme beaucoup des histoire d'amour, elle prit fin. Non pas par un trahison. Atteinte d'un cancer, qui la dévorait de mois en mois, la jeune professeur mourru. Bouleversé par cette évènement Michael, après une longue année de deuil, décida de faire construire une grande université situé à New York.
Cette université, disait il, lui permettrait de ne jamais oublier sa tendre Sonia. Michael mourut quelques années après la fin de la construction de cet établissement. Certains disait qu'il avait fini se pourquoi il était venu sur terre et allé rejoindre sa moitié.
Ce sont des personnes comme sa fille qui reprirent la direction de l'université puis d'autres personnes encore jusqu'à aujourd'hui. Au fur et à mesure que les années passaient cinq confréries c'était créées, visant des élèves au différents talent, le sport, la littérature, les sciences et l'art. Malgré quelques tensions temporaires entre les différentes confréries, il règne une ambiance très complice, parfois plus, entre tous les élèves.

Pourrez vous faire part de l'univers de cette école? Et serez vous y laisser vos empreintes?

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WELCOME TO L.A

the city of angels

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Los Angeles… Une ville très dynamique mais bourrée de dangers lorsque les lumières artificielles commencent à s’allumer. Ce matin là, Kate Winson, une jeune femme de 32 ans, est réveillée par des coups violents à sa porte, et des hommes criant le mot « police » à tout bout de champ. Affolée, elle court bien sûr leur ouvrir, et s’étonne de la violence prodiguée contre elle. En moins de deux minutes, la jeune femme se retrouve clouée au sol, les mains derrière le dos, tandis que trois hommes cagoulés et armés montent les marches de l’escalier menant au premier étage. Un cri, un bruit sourd, et les revoilà redescendus quelques instants plus tard aux-côtés de son mari, James Winson, menotté, la tête baissé, le visage rempli de honte à l’égard de sa femme. Braquage de banques. 15 ans. Heureusement qu’il lui reste le courrier et le parloir…

Los Angeles. Ses buildings, ses centres commerciaux, ses boîtes de nuit branchées, son panel de célébrités, sa prison. Bien évidemment, on évite de trop faire parler d’elle, toute cette racaille pourrissant à l’intérieur serait une bien mauvaise publicité pour cette ville tellement appréciée par les touristes. Mais elle est bien là, situé à quelques centaines de mètres de quelques appartements, à la sortie de la ville. A l’intérieur, des braqueurs, dealeurs, meurtriers, violeurs, trafiquants d’armes, déserteurs de l’armée… une jolie marmaille qui ne risque plus de sentir l’air pollué de la ville avant une bonne dizaine d’années minimum…Oui, cette prison est réservée aux grosses peines. Certains sont là pour perpétuité, d’autres encore attendent patiemment dans le couloir de la mort. Autour d’eux, entre les murs en béton, les portes blindées et les miradors, des gardiens, commençant à tout savoir de la vie de leur détenus en prenant le temps de discuter avec eux de temps à autres autour d’une partie de cartes ou pendant les promenades. Tous espèrent que les jours passeront vite, et qu’ils pourront bientôt revoir leurs familles…

En ville, dans ces pavillons et grands appartements, leurs familles, amis, connaissances… tout le monde ou presque ici a un lien avec ces détenus, et lors de leurs jours de repos, ils prennent le temps de venir les voir au parloir, pour leur donner le courage de tenir encore un peu, de ne pas se laisser aller dans les bras réconfortant de la mort. Lorsqu’ils le peuvent, ils leur ramènent des vêtements neufs, de la nourriture meilleure que celle qu’ils reçoivent au réfectoire, un peu d’argent pour pouvoir acheter leurs cigarettes en semaine… Des choses aux apparences anodines, superficielles, mais vitales pour ces détenus. Bien sûr, certains habitants de la ville n’ont pas le courage de venir à la prison voir leurs proches. Les conditions sont rudes là-bas, et voir les gens que l’on aime vivre à l’intérieur a déjà brisé plus d’une famille. Mais les détenus ne leur en veulent pas en général. Ils compatissent.

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Quoi qu’il en soit, la création de cette prison il y a 15 ans par Henry Pope, qui en est toujours le Directeur, a changé à jamais la cité des Anges.